Oublier ses ancêtres, c’est être un ruisseau sans source, un arbre sans racine…
© 2022 GHC39300. All Rights Reserved.
Designed by
Introduction à la généalogie…
Nous vous proposons de partager ici avec vous quelques conseils de base si vos racines vous intéressent :
S’équiper
d’un
logiciel
de
généalogie
permet
de
ne
pas
crouler
sous
les
bouts
de
papiers
après
quelques
semaines
de
recherche.
Cela
évite
de
s’éparpiller,
de
rechercher
constamment
tel
ou
tel
acte
ou
de
faire
des
petits
tableaux à la main. Même les logiciels gratuits vous permettront de commencer sereinement.
Voilà,
le
temps
est
venu
de
lancer
ses
recherches.
Mais,
là
encore,
avant
de
commencer
à
consulter
les
actes
dans
les
archives
départementales
ou
sur
internet,
il
vous
faut
être
en
mesure
de
remonter
le
temps
sur
environ
100
ans.
Il
ne
nous
est
pas
permis
de
consulter
tous
les
actes
récents
:
acte
de
décès
immédiatement
consultable
et
par
tous,
actes
de
naissance
et
de
mariage
:
75
ans
ou
25
ans
après
le
décès
de
la
personne
concernée
par
l’acte
(
loi
n°
2008-696 du 15 juillet 2008), immédiatement si conjoint, ascendants ou descendants.
La
Révolution
a
eu
au
moins
ça
de
bon
:
la
création
des
tables
décennales
qui
vous
permettront
de
survoler
environ
220
années
d’actes
d’une
commune
en
quelques
minutes.
En
effet,
à
partir
de
1792,
les
communes
avaient
pour
obligation
de
concentrer
naissances,
mariages,
décès
et
même
divorces
par
tranche
de
décennies
sur
des
tables
ou
plus
simplement
feuillets.
Très
pratiques,
elles
vous
permettront
de
retrouver
des
ancêtres
assez
rapidement,
à
condition
que
vous
connaissiez
sa
commune
de
naissance,
ou
celle
où
il
s’y
est
marié…
Une
fois
la
date
relevée,
il
vous
sera plus simple de retrouver l’acte recherché.
Il
existe
différents
types
d’actes
:
de
naissance,
de
baptême,
de
mariage,
de
décès
(
ou
sépultures)
et
de
divorce.
Chacun
d’entre
eux
a
son
importance
pour
réussir
sa
généalogie.
Un
petit
faible
pour
les
actes
de
mariage
car
ils
concentrent
en
quelques
lignes
des
données
souvent
très
intéressantes.
On
peut
y
découvrir
la
date
et
le
lieu
de
naissance
des
mariés,
les
noms
et
prénoms
de
leurs
parents
respectifs
ainsi
que
leur
adresse.
Pas
de
mariage
sans
témoins
et
donc
l’apparition
d’un
oncle,
d’un
frère
ou
d’une
sœur.
Autant
d’informations
qui
vous
permettront
d’étoffer
les
branches
de
votre
arbre.
On
peut
également
y
apprendre
si
un
contrat
de
mariage
a
été
établi
et
même
savoir
si
ses
ancêtres savaient écrire, ou du moins signer.
Lorsqu’ils
sont
bien
complétés,
les
recensements
et
les
listes
nominatives
sont
des
sources
utiles
pour
avoir
la
composition
de
la
famille
à
un
moment
précis
et
permettent
souvent
de
débloquer
une
recherche
en
donnant
les
lieux
d’origine.
Les
registres
matricules
militaires
créés
en
1867
(répertoires
et
fiches)
nous
donneront
des
informations
sur
la
totalité
du
parcours
du
soldat,
ses
affectations,
grades,
unités,
ses
blessures
éventuelles,
ses
décorations,
en
y
incluant
ses différents domiciles et même une description physique, très utile pour pallier le manque de photo.
Concentrez
sur
une
branche,
vous
allez
vous
imprégner
de
cette
ascendance,
mieux
la
connaître
et
par
déduction
être
plus
à
même
de
découvrir
un
lieu
de
naissance
ou
de
mariage.
Nos
ancêtres
restaient
souvent
dans
un
même canton. N’hésitez pas à vous munir d’une carte du canton où vivaient vos ancêtres.
Internet
est
une
vraie
révolution
pour
les
généalogistes.
Désormais,
il
vous
est
possible
de
consulter
de
votre
domicile
des
millions
d’actes
numérisés
et
vous
éviter
ainsi
de
parcourir
des
centaines
de
kilomètres.
Malheureusement
les années des documents consultables en ligne diffèrent en fonction des départements…
Internet,
c’est
aussi
la
possibilité
de
mettre
son
arbre
en
ligne
grâce
à
des
sites
spécialisés
gratuits
ou
non.
Il
est
révolu
le
temps
où
chacun
conservait
ses
petites
informations
dans
son
petit
coin.
Les
généalogistes
aiment
partager
et
leurs
publications
pourront
vous
permettre
de
grands
bons
en
arrière
dans
le
temps.
Mais
il
est
fortement
conseillé
de
conforter
ces
informations
trouvées
par
d’autres,
les
erreurs
sont
fréquentes,
involontaires,
mais
la
recherche
c’est
cela
aussi … vérifier, vérifier, vérifier…
Dernier
conseil
très
précieux,
armez-vous
de
patience.
Il
faut
toujours
garder
l’espoir.
Une
généalogie
n’est
jamais
finie.
Une
branche
qui
sommeille
pendant
des
années
peut
du
jour
au
lendemain
reprendre
vie
si
vous
trouvez
par hasard une information qui vous permet de remonter le temps.
N’hésitez pas à nous contacter, nous tenterons humblement de vous aider si c’est possible.